En réponse à :
23 février 2012
Les grands médias ont leurs raouts annuels, leurs pince-fesses à petits fours et paillettes consanguines. Les petits indépendants n’ont que dalle ; ils suçotent des cachous en frissonnant sous le vent mauvais, tristes et esseulés. Voire jaloux : ce n’est pas parce qu’on a pas de thunes et qu’on (...)