En réponse à :
11 janvier 2007, par Alexandra Bougé
Je regarde le temps qui explose à l’infini
des bulles à tout va
il s’oxyde puis et lâche (ou blute) des gouttes
du temps des histoires de l’eau
pour un peu je lui cracherais
j’ai le vent en poupe
pour un bon bout
le temps qui se sépare ;
il s’amène fara încetare et s’emballe il m’amène au bout
j’amène des objets, je ramène ce qu’il aime
les gens regardent à peine le temps s’étire
les gens s’en emparent ;
il sape le temps mon temps est fini
et j’ai le vent en poupe
et l’on se prépare au combat (...)