En réponse à :
17 avril 2012, par Norbert Barbe
À présent que je vis de scaphandrier
Perpétuel mon sas de décompression
Les genoux dans le coton
Que tissent bien les nuées
Où se balancent mes doigts de pieds
Avec mes théories mes fantaisies et mes préjugés
Un jour j’ai défini la peur
Dans mes anciennes cages
Où gerront mes crânes
Et leurs bucranes
Entre le pain que me vend un diabète tardif
Triglycérides et hydrates de carbone
Et les denrées que nous refuse dès dix heures la bourse
Les paupières enflées toujours
Comme le boxeur
Frappé de (...)