En réponse à :
13 septembre 2014, par Ziad Medoukh
« Au plus profond de mon cœur,
Moi, le palestinien enfermé
Je forme des vœux légitimes et humains
Exprimés par ma plume,
Avec mes mots fougueux
Écrits sur une page ensanglée que la nuit enveloppe,
Moi qui pourfends l’occupant de ma poésie pacifiste
Produite en pleine guerre de ma prison à ciel ouvert ! »
À l’école de Gaza (août-septembre 2014) éditorial et sommaire des articles liés ⇐
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