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9 mai 2013, par Yan Kouton
Fragment 1
L’écriture s’est alors imposée. Genre de refuge vissé au sol. De l’encre noire pour un flux tendu de réflexions et de souvenirs. Avant le trou noir ou le tenir à distance. Il y a en permanence dans cette chambre de la lumière. Plus ou moins forte selon les heures. La nuit elle est en veilleuse. Petite lueur blanche qui maintient un semblant de jour. Un semblant de raison paraît-il. Je la regarde. J’y vois ce que je ne devrais plus y voir avec les médicaments. Avec eux je ne devrais plus (...)