Voilà que la dernière heure est arrivée, celle où l’on sent bien qu’un lendemain
reste douteux. A condition de veiller, comme cette revue idéale le fait, au
reste de nuit qu’on voit disparaître en attendant autre chose : cet impossible
qui nous advient, qui circule au dedans et entre nous. Ensembles. Que
l’écriture rende par l’éclat la nuit moins longue, jusqu’au prochain numéro :
oui sa lecture éclaire, autant que cette revue éclaire la lecture.
AS