En réponse à :
20 octobre 2008, par Olivia Cham
« Si je voulais résumer, je dirais que c’est comme dans ce roman de Duras, Le Marin de Gibraltar.
Enfin, pas tout à fait : ce serait sans le marin, ni Gibraltar, et sans celle qu’il appelle l’Américaine - Anna, je crois. Sans cette femme qui était si belle, si séduisante, que c’était comme si l’on n’avait jamais connu d’autre femme avant elle, est-il dit.
Ce serait donc, pour être honnête, seulement comme dans les premières pages de ce fameux roman.
Ces pages, précisément, où le narrateur raconte sa (...)