En réponse à :
15 octobre 2007, par Roland Pradalier
X me montra la réponse de l’éditeur scientifique auquel il avait fait parvenir son manuscrit, elle était soigneusement dactylographiée, et il semblait qu’elle avait déjà servi :
Cher monsieur,
J’ai lu les premières pages de votre manuscrit dont je refuse la publication. Rappelez-vous quand vous serez en dépression, conséquemment à ce refus, que je suis à l’origine de cette maladie. Songez donc alors quel est mon pouvoir de nuisance sur des êtres qui me sont peut-être supérieurs mais qui sont soumis à (...)