En réponse à :
8 février 2007, par Stéphane Tirilly
Le héros, Paul Dédalus, a dix ou onze ans. Un après-midi, il entreprend d’écrire un roman, un récit d’aventures qui décrirait une vie rêvée, avec des histoires de pirates et de trésors. Dans le préambule qu’il parvient à rédiger (cinq lignes d’après son souvenir, un peu plus d’après l’image que nous propose le cinéaste), il commence par régler ses comptes avec la vie réelle, avec sa famille de "bourgeois timorés", sur un ton "vengeur". Ce préambule est assez beau, quoi qu’il en dise en racontant le souvenir à son (...)