En réponse à :
12 mars 2007, par Cezsa
le jour se lève, sa peau est moite, elle a chaud, elle se prépare du café, ouvre les volets de la cuisine
le jour se lève il fait une chaleur à crever
elle tire sa robe bleue sous ses fesses se dandine sur la chaise en formica marron essuie sa paume moite se penche ouvre le tiroir à bois de l’antique cuisinière blanche saisit le revolver caché dedans l’essuie enfonce le canon dans sa bouche
ferme les yeux...
grimace...
ouvre les yeux...
pose la main avec le revolver sur ses cuisses respire (...)