En réponse à :
19 juillet 2009, par Nina Zivancevic
Comme j’étais assise dans un appartement de banlieue dans ma ville natale, regardant les femmes étendre leur linge dans l’espace étroit séparant deux immeubles, je me mis à observer quatre jeunes gens, en tenues spéciales de camouflage, qui revenaient tout juste du front.
Ils ouvrirent la porte de l’un des deux immeubles, entrèrent dans la cuisine, s’assirent tout en sueur à une table, leurs mauvaises dents trahissant leur vraie nature ; ils étaient extrêmement irritables, tremblants, en surface ils (...)