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19 juin 2006, par Julien Theron
Ambiance étrange dans le Parc Varosliget pour un samedi soir. La brume laiteuse noie les arbres noirs comme dans un dessin à l’huile. La lumière, elle, se fait diffuse dans un dessein fantasmatique. Les pas crissent sur la neige encore épaisse qui s’étale sur les parterres du parc. Les nombreuses voitures garées en épi de part et d’autre de l’allée sont le seul signe de vie humaine. Comment se douter de l’explosion de vie qui termine le chemin ? Comment s’attendre à l’énergique densité de l’amas humain (...)