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14 mars 2005, par Laurent Margantin
Dans la première moitié du dix-neuvième siècle, la force d’attraction de l’Allemagne culturelle et scientifique était immense. Il n’est qu’à en juger par la formation de quelques écrivains et poètes français de la génération suivant le romantisme allemand pour s’en persuader. Je pense bien sûr à Nerval, mais aussi à Balzac, qui place l’ensemble de la Comédie humaine dans la perspective ouverte par les débats scientifiques entre la France et l’Allemagne, et en particulier, selon ses propres termes à l’époque, (...)