En réponse à :
6 août 2010, par Régis Poulet
Lyon — dans le nom duquel se lit la confluence d’une rivière et d’un fleuve. Saône alanguie dans ses vals et qui souvent se déborde, mais contrainte à se presser, à s’étrangler avant d’entrer en ville par des môles granitiques. Moins à son aise qu’à Mâcon où elle s’étale et se fait respecter par ses écarts périodiques, elle n’est ici qu’une passante de ses quais, rendue turbide par les méandres imposés. A tel point que les façades des bâtiments qui la bordent sont, en amont de la Presqu’île, dans les mêmes (...)