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25 février 2012, par Robert Louis Stevenson
Le prince et le colonel furent soumis à un interrogatoire long et minutieux ; le prince seul d’abord, puis Géraldine en présence de ce dernier, de sorte que le président pouvait observer la contenance de l’un, tout en écoutant les réponses de l’autre. Le résultat fut satisfaisant et le président, après avoir enregistré quelques détails sur son registre, leur présenta un formulaire de serment à remplir. On ne saurait imaginer de formule plus absolue de l’obéissance passive, rien de plus rigoureux que les (...)