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9 décembre 2015, par Laurent Maindon
SA MAIN
Provocante et éphémère N’a de cesse de l’évanouir De le ranimer de le séduire Abolissant toutes les frontières Bien au-delà de tous les vices
ORPHELINE D’ÉTREINTE
Le poète monte sur un talus herbeux Non par hasard Il y grimpait jadis pour contempler l’autre côté Dans un mélange de consternation et de voyeurisme Il observait les bribes de vie au-delà du mur Baisers volés sans consentement Il s’indignait de ne pouvoir adresser la parole sinon par héler
Horizon divisé
Ciel partagé
On lui vantait (...)