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16 janvier 2015, par Philippe Marlière
Cette année en 2015, le lendemain de la dernière tuerie des attentats de Paris des 7 et 9 janvier, le cinéaste italien Francesco Rosi, dont le cinéma magistral confronta le public aux plus grandes affaires politiques criminelles de l’Italie de l’après-guerre, s’éteignait chez lui, à Rome, à l’âge de quatre vingt douze ans. Le 11 janvier, le Corriere della Sera publiait un faire-part nécrologique mentionnant la dernière consigne engagée du cinéaste en vue de ses obsèques : « Pas de fleurs mais la (...)