En réponse à :
4 avril 2014, par Márcia Marques-Rambourg
Trait
L’océan se répand sur mon ventre.
Inutile d’établir la longueur
La page
Le blanc de l’eau sédentaire.
L’océan sautille sur mes lèvres
Lorsque (ouvertes)
Elles se mettent à trembler.
L’océan m’est trait
Union, désamour.
Qui me sculpte dans la distance de la fragmentation.
Confrère
Mon frère marche sous la pluie molle des mots Abasourdi de gens, absorbé Par les miroirs enlacés du béton, de la terre plate Regardé par les courbes grises, bretonnes. Mon frère marche sur des sols intouchables (...)