En réponse à :
14 mai 2013, par Joachim Séné
Dans les bas-côtés, aux bords des routes qui longent les champs sans être chemins d’accès prévus pour les tracteurs, ces routes parfois plus basses, jamais plus haute, que la terre remuée annuellement, dans ces fossés il n’y a d’abord rien qu’un empêchement, une frontière naturelle et évidente entre la route qui mène d’un endroit à l’autre, utile, et le champ cultivé, inutile ici pour qui passe, a besoin de passer, mais utile dans un autre monde pour lequel c’est la route qui est inutile. Pourtant, dans ces (...)