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5 février 2013, par Edouard Schaelchli
La présente réflexion voudrait atteindre dans ou à travers l’œuvre de Jean Baudrillard un point de la pensée que, d’une certaine façon, la pensée ne peut penser, même si (ou au contraire parce que) ce point est précisément celui où elle pourrait se rejoindre elle-même et, donc, s’achever. Dans la « Note » qu’il pose au seuil de Rhumbs, Paul Valéry donne l’indication suivante :
« Comme l’aiguille du compas demeure assez constante, tandis que la route varie, ainsi peut-on regarder les caprices ou bien les (...)