En réponse à :
17 janvier 2013, par Claudie Hunzinger
Ma chère Béatrice, oui c’était tellement naturel qu’André soit vivant.
Tu sais, lundi soir, je m’étais endormie, quand je me suis réveillée vers 11 heures, ne trouvant plus, dans mon demi sommeil, la suite de la dernière strophe de Moesta et errabunda, celle qui commence par « L’innocent paradis plein de plaisirs furtifs »... Alors, je rallume, je cherche Charles Baudelaire, au lieu de qui je trouve André Bay, ou plutôt c’est lui qui s’avance vers ma main. Je le prends, j’ouvre Trésor des comptines, en (...)