En réponse à :
15 janvier 2013, par Régis Poulet,
Yan Allegret
Régis Poulet : A la fin notre premier entretien, il y a eu quatre ans en novembre, alors que tu travaillais sur Hana no michi, tu évoquais un personnage « debout qui chante face aux portes ouvertes de la mort ». Comment as-tu poursuivi depuis dans cette voie qui s’ouvrait à toi ?
Yan Allegret : La voie s’ouvre à soi. Oui. C’est juste de dire ça. Ça éloigne l’idée d’un contrôle sur la vie. Cela advient. J’aime bien cette idée.
La vie se manifeste à nous au-delà des grilles de lecture qu’on tente de lui (...)