En réponse à :
24 septembre 2012, par Raymond Penblanc
Décidément, les restaurants lui réussissaient bien. Non seulement on lui ôtait le souci d’avoir à composer les menus, non seulement il lui était permis de mettre les pieds sous la table et de n’en plus bouger pendant toute la durée du repas, non seulement, une fois celui-ci terminé, elle pouvait s’offrir le luxe de quitter la salle à manger sans avoir de comptes à rendre à personne (Marc y pourvoirait avec toujours autant de tact et de discrétion), sans avoir non plus à tremper ses mains dans l’eau (...)