En réponse à :
8 septembre 2012, par Irène Sinou,
Lucie Mazalaigue
Madame.
Sous votre statue coule la pierre. De ce sixième continent ignoré où flottent en rythme vos ainés, vous ne m’écrirez pas. Je lis pourtant si bien la femme sous l’étoffe, la nourrice et la mer privée de ses ressacs, et cette Afrique polaire qui remonte sans cesse, à qui sait recevoir les noires vibrations. Je prierai mes enfants qui jouent sur le périph d’aller voir de plus près vos fiers hiéroglyphes, d’approcher un peu plus votre regard métal pour savoir lire enfin les pensées végétales. Je vois (...)