En réponse à :
24 décembre 2011, par Bernard Pasobrola
Le 24 décembre, je quittai vers quinze heures mon bureau du laboratoire Cortex-France, filiale de Home Products Corporation. Un hélicoptère me déposa à l’hôtel de police où je demandai à parler à l’inspectrice Herse. Cette officière m’avait appelé une semaine plus tôt afin de solliciter mes services, en ma qualité de neurothérapeute, pour tenter d’élucider le cas de la disparition d’un assureur âgé d’une cinquantaine d’années, Aristide Lafont. J’avais négocié avec le Ministère de l’Intérieur et de la Santé un (...)