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14 août 2011, par Robin Hunzinger
Nous voici à l’aéroport. Il est une heure du matin. Les passagers pour Casablanca embarquent. Dans une heure nous nous envolons. L’atmosphère est très calme. On vient de saluer les parents et les amis qui sont venus nous accompagner. Aya voulait rester et moi abréger ce moment que je trouve toujours très dur. Tim, lui, ne veut pas partir. Il me demande déjà quand on va revenir.
Fièrement il épelle son deuxième prénom africain, celui qu’il refusait quelques semaines plus tôt. Je crois qu’on a gagné (...)