En réponse à :
11 mars 2011, par Bernard Vaudour-Faguet
— Vous êtes réveillé ?
— Non ! Pas vraiment ! Mal ! Oh ! J’ai dormi à moitié cette nuit ! Je sais un peu pourquoi : il y avait trop de mouvements à l’extérieur dans les couloirs... les infirmières couraient dans tous les sens avec leurs chariots, leurs appareils, leurs pansements. Et puis j’entendais les ambulances... les phares se reflétaient contre le plafond de la pièce. En bas le trafic de la rue remontait du centre-ville ...
— C’est surtout la cardiologie qui était agitée. C’était (...)