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8 mars 2011, par Paul Verlaine (1844-1896)
« Or çà, mes hôpitaux de ces dernières années, adieu ! Sinon au revoir ; alors, salut ! En tout cas ; j’ai vécu calme et laborieux chez vous. »
Ruiné depuis la mort de sa mère, souffrant de nombreux maux (ulcères, syphilis...), Paul Verlaine (1844-1896) vit ses dix dernières années entre l’hôtel et l’hôpital.
Il y multiplie les séjours, commence par Tenon, finit par Bichat, fréquente entre-temps Cochin, l’asile de Vincennes, Saint-Antoine, Saint-Louis, préfère Broussais.
Dans ses chroniques de la vie (...)