En réponse à :
14 février 2011, par Christine Bergougnous,
Thomas Vinau
C’est là-bas que poussent les meilleurs bolets. Je ne suis pas un voleur, vous savez. Je vais là où ça pousse. Avant, la vieille comtesse nous laissait cueillir sur ses terres. On glanait et elle tolérait même deux ou trois collets. Ça régule les populations, vous savez. C’est bon pour le bois et ce qui vit dedans, sinon, il n’y aurait que des rats et des ronces. Mais depuis l’agence, on est comme des voleurs, alors que je suis né ici moi monsieur. Toutes les crèches de l’an neuf je les ai faites avec (...)