En réponse à :
30 août 2009, par Laurent Margantin
On a un étrange sentiment en feuilletant l’ouvrage 42, rue Fontaine. C’est à la fois une douleur et un émerveillement. Douleur devant ce qui a été dispersé, et de quelle façon - avec la brutalité d’une civilisation « moderne », brutalité sophistiquée, manipulant les armes de l’argent et du cynisme. Emerveillement devant ce que la photographie d’Ehrmann et les mots de Gracq conservent, pour mémoire.
En lisant : impressions justement de papier infiniment feuilleté, comme le livre de sable de Borgès, d’une (...)