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22 septembre 2010, par Cédric Bouchoucha
Shining marque par ses mouvements de caméra inhumains, fluides, parfaits. Le spectateur retient des moments et trop peu souvent des instants. Pourtant, l’un de ces instants, très rigoureux, peut et doit être analysé sans véritable emphase, en s’appuyant sur sa simple construction.
Bien que Jean-Loup Bourget la relève comme une longueur[1], la rencontre entre Jack Torrance et son prédécesseur Delbert Grady devrait frapper tout spectateur : les murs sont rouges sang, comme une prémonition, comme une (...)