En réponse à :
7 novembre 2004, par Marie-Louise Audiberti
L’air doux s’immisce dans les conversations pour les amortir. La femme ne cesse de marcher, elle gravit les escaliers, redescend plus loin. Une ville, il faut l’arpenter sans répit. Mais regarde au moins où tu marches ! Comment pourrait-elle détacher ses yeux des murs, avec tous ces azulejos, à prononcer d’un seul tenant comme un souffle glorieux, asulejoch, sans compter l’à-plat des fenêtres, les dégradés de toits enchevêtrés rouges, ocres, roses, qui se profilent à chaque point de vue.
Sergio lui (...)