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5 avril 2010, par Charles Baudelaire (1821-1867)
En 1854 Baudelaire découvre puis traduit les oeuvres d’Edgar Poe. Les deux hommes ont une même conception de l’art ainsi qu’une fascination pour ce que Poe appelle le démon de la perversité. Baudelaire dit : "Nous noterons que cet auteur, produit d’un siècle infatué de lui-même, enfant d’une nation plus infatuée d’elle-même qu’aucune autre, a vu clairement, a imperturbablement affirmé la méchanceté naturelle de l’Homme. "
Publiées en tête des Nouvelles histoires extraordinaires en 1857, ces Notes nouvelles (...)