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2 mars 2010, par Régis Poulet
Isabelle Eberhardt, Théodore Monod ont écrit sur le désert. De la première au second, on passe de la mystique aventurière du désert à un naturaliste aux semelles de vent. Cependant, pour l’un et l’autre le désert est associé à une foi monothéiste (musulmane pour Eberhardt, chrétienne pour Monod) dont les auteurs des Carnets de voyages naturalistes au Maroc saharien, ont bien expliqué, surtout Michel Tarrier, qu’ils se défiaient en raison de l’anthropocentrisme et de l’incitation à proliférer des religions (...)