En réponse à :
24 juillet 2007, par Béatrice Commengé
Ile imaginaire, île istrienne, encore et toujours nôtre : que l’occupant ne pourra jamais posséder !
P.A.Quarantotti-Gambini
Je pense à la couleur bleue : celle des yeux de Joyce derrière ses épaisses lunettes, et celle de la mer, à Trieste. Je les superpose. Les bleus se confondent. Derrière les lunettes, l’oeil paraissait encore plus grand, écrit Italo Svevo, le regard froid, intensément curieux. Les yeux de Joyce absorbent la lumière bleue de Trieste. Le "limpide regard bleu" de Trieste...
Je (...)