En réponse à :
4 juin 2010, par Michel Tarrier
« La prophétie de malheur est faite pour éviter qu’elle se réalise ; et se gausser ultérieurement d’éventuels sonneurs d’alarme, en leur rappelant que le pire ne s’est pas réalisé, serait le comble de l’injustice : il se peut que leur impair soit leur mérite », écrivait Hans Jonas.
N’y a-t-il pas peur et peur ? Phobies irrationnelles et craintes justifiées ?
Il n’est nullement question d’entretenir la peur pour l’araignée, pour la nuit, pour l’étranger ou de prophétiser une quelconque apocalypse. (...)