En réponse à :
8 février 2010, par Emil Cioran
Sommaire :
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Je le lis pour la sensation de naufrage que me donne tout ce qu’il écrit. Au début, on comprend, puis on tourne en rond, ensuite on est pris dans un tourbillon fade, sans effroi, et on se dit qu’on va couler, et on coule effectivement. Ce n’est pourtant pas une véritable noyade — ce serait trop beau ! On remonte à la surface, on respire, on comprend de nouveau, on est surpris de voir qu’il a l’air de dire quelque chose et de comprendre ce qu’il dit, puis on (...)