En réponse à :
3 février 2010, par Sigmund Freud
Das Unheimliche (1919)
I
Le psychanalyste ne se sent que rarement appelé faire des recherches d’esthétique, même lorsque, sans vouloir borner l’esthétique à la doctrine du beau, on la considère comme étant la science des qualités de notre sensibilité. Il étudie d’autres couches de la vie psychique et s’intéresse peu à ces mouvements émotifs qui --- inhibés quant au but, assourdis, affaiblis, dépendant de la constellation des faits qui les accompagnent forment pour la plupart la trame de (...)