En réponse à :
8 octobre 2009, par Ariane Molkhou
Hier, à 17:22
« Voilà ce qu’il ne faut pas être » disais-tu en parlant de moi, ça commence comme ça entre nous, ça commence par un coup d’épée, de ligne, de langue à qui on ne la fait pas, ça commence par la vérité.
À l’époque, je vais très mal, je m’endors dans la journée, devant Henri Meschonnic je m’endors, devant Jaques Réda je m’endors, tu prends ta fourchette et tu me l’enfonces dans les fesses, tu me dis : « si tu t’endors, tu meurs, si tu meurs, tu pars de chez moi, c’est compris ? ».
J’y comprends rien, (...)