En réponse à :
22 septembre 2009, par Régis Poulet
Il est hélas un lieu commun de la banalité médiocratique que toute parole assenée à bon escient, galet poli, galet taillé, se retrouve bientôt submergée par un flysch littéraire, formant ainsi « un empilement de (docu)ments détritiques déposés par un même courant de turbidité », et parfois même les malheureuses gemmes se voient roulées, liées à ces artefacts par un ciment culturel et former un poudingue...
Avec Les fugitifs, Serge Velay nous propose quinze de ces galets polis, autant que deux mains réunies (...)