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22 août 2010, par Denitza Bantcheva
Nous descendions vers la petite plage à pied, la serviette à l’épaule, Lucas portant aussi le panier de provisions. Il marchait à dix bons pas devant moi, l’unité de mesure de l’indépendance. Ses jambes avaient déjà eu le temps de bronzer un peu. J’étais épuisée mais je me sentais très bien. Je me récitais la description des Ombres en français et en italien. Dante reposait dans mon sac à main, entre un cahier d’écolier, où j’allais prendre des notes si d’autres idées me venaient, et le téléphone portable : (...)