En réponse à :
2 août 2009, par Louis Mandler
Celle qu’a connue Agelène et dont elle ne m’aura parlé qu’une fois, sur l’île.
Elle avait attendu longtemps, les vendredis soirs, qu’on vînt la chercher. Les voitures étaient garées en épi sur le parking qui servait de sas, entre la grille par laquelle on échappait à l’enclos hebdomadaire et la porte principale du bâtiment triangulaire dont le monde extérieur ne connaissait que le hall et les premiers bureaux. Les cours de récréation étaient ouvertes à la famille – et aux amis qui se déplaçaient – à la (...)