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11 février 2009, par Nicolas Boldych
Je suis arrivé à Skopje, République Macédoine, au mois de septembre, sans avoir aucune expérience de cette terre. J’étais dans un taxi avec d’autres Français, futurs lecteurs, comme moi, dans les lycées du pays. Nous ne savions pas vraiment où nous étions, mis à part que Skopje était la capitale d’un jeune pays, que cette ville avait jadis été détruite par un tremblement de terre, et qu’un siècle avant elle s’appelait encore Usküb et était ottomane.
Au début il y a eu de la poussière, des terrains vagues, un (...)