LE COMBAT D’UN HOMME, LE COMBAT D’UN PEUPLE, LE COMBAT D’UN MONDE.
Christophe de Ponfilly a suivi le légendaire commandant Massoud, depuis sa lutte contre l’envahisseur soviétique, puis contre les talibans, jusqu’à son assassinat par Al Qaeda, le 9 septembre 2001.
Christophe de Ponfilly dresse le portrait d’un homme et d’un peuple, mais également de tous ces volontaires français (infimières, médecins, journalistes, hommes politiques...) qui, comme lui, ont embrassé la cause afghane.
DVD 1 - NAISSANCE D’UN MYTHE
Une Vallée contre un empire premier film de Christophe de Ponfilly - 52 min
Ce film témoigne du début de lutte d’un jeune commandant contre les Soviétiques.
Massoud l’afghan (le film - 90 min) Portrait du commandant Massoud en lutte contre les talibans.
Extrait du film (introduction)
Ahmad Shad Massoud - entretien avec Christophe de Ponfilly - 44 min
Le Dessous des cartes : l’Afghanistan - 7 min
DVD 2 - L’HOMME QUE L’OCCIDENT N’A PAS VOULU ÉCOUTER
Vies clandestines, nos années afghanes - 90 min
Ce film suit l’engagement de milliers de Français qui ont traversé, à pied ou à cheval, les frontières pour aider des populations oubliées.
Massoud et la délégation de l’espoir - 56 min
Retour sur le voyage d’une délégation de parlementaires européens, en juin 2000, pour rencontrer Massoud.
Commentaire
En dix-huit ans et onze films, Christophe de Ponfilly a suivi le commandant Massoud dans sa lutte pour l’indépendance de l’Afghanistan. C’est en juillet 1997, alors que Massoud est encerclé par les talibans dans sa vallée du Panjshir, que le réalisateur part à nouveau à sa rencontre.
Ce film témoigne du combat de ce Lion du Panjshir, mort le 9 septembre 2001 victime d’un attentat suicide, laissant l’Afghanistan aux mains de la dictature islamique.
« En 1998, j’achevais ce film avec cette impression étrange de lancer une bouteille à la mer tant, depuis quelques années, j’avais la triste sensation de parler dans le désert. Alors qu’il me semblait que cette réalité d’Afghanistan nous concernait tous, nous les Occidentaux, paradoxalement, rares étaient ceux qui s’y intéressaient », dira Christophe de Ponfilly.