En réponse à :
4 juillet 2013, par Xavier Zimbardo
Depuis des temps immémoriaux, les farouches bergers Aït Atta transhument au travers de paysages sévères pour échapper avec leur cheptel aux rigueurs de l’hiver dans le Haut-Atlas ou aux insupportables chaleurs de l’été dans le Djebel Saghro.
Sous le déluge brûlant d’une aveuglante lumière blanche, les paysages lunaires et tourmentés de ce massif volcanique deviennent alors un territoire muet où d’aucuns prétendent que seuls les scorpions et les serpents auraient droit de cité car seuls ils seraient à (...)