En réponse à :
1er août 2010, par Roland Pradalier
Admettons que n’ayant rien à dire, j’écrive comme on a soif, par besoin autant que par envie, pour étancher une très ancienne incontinence, ma passion. Admettons et buvons cette littérature au robinet. Sous pression, froide et légèrement toxique.
Je n’ai pas dès le commencement été amateur de bière, je veux dire à 16 ans quand je me suis efforcé d’en boire et que son amertume me faisait grimacer ou faire la moue. J’ai de la tendresse pour l’imbécile novice que je fus et qui sans se soucier du goût, allais (...)