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11 octobre 2006, par www
1. Jean Floressas des Esseintes, ou le déclin d’une vie
Ce qui distingue les grands livres peut se résumer simplement : la « vérité » des personnages, leur capacité à vivre par eux-même, sans tuteur extérieur. Après tout, la lecture n’a pas d’autre fin que de nous extraire d’un monde atroce, d’une existence douloureuse et, pour l’essentiel de l’humanité, parfaitement inutile. Anywhere out of the world. S’attacher à un personnage, le suivre dans le cercle clos de sa vie nous permet un temps d’oublier notre (...)