En réponse à :
26 juin 2012, par Edmondo de Amicis (1846-1908),
Olivier Favier
Nous sommes allés rencontrer Jules Verne à Amiens. C’est là qu’il vit toute l’année, à deux heures et demie de Paris en chemin de fer. Il avait écrit une lettre à mon cher Caponi, qui m’assurait du meilleur accueil. Cette certitude avait ravivé mon vieux désir, et celui des deux jeunes gens qui m’accompagnaient, de connaître en personne l’auteur aimé et admiré des Voyages extraordinaires. Nous ne savions rien de lui en dehors de ses livres, nous n’en avions aucune image, pas même une photographie. Nous (...)