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17 décembre 2015, par Michèle Duclos
La mort reste en Occident post-moderne le dernier tabou, la dernière crainte, d’autant plus qu’aujourd’hui sans l’espoir d’un au-delà chrétien ou d’une réincarnation bouddhique, elle contredit nos ambitions prométhéennes insensées. Les habitants de l’archipel nippon habitués aux nombreuses catastrophes naturelles (ou artificielles !) se savent à la merci d’un cataclysme et sont sans doute résignés à leur propre disparition.
Sur la mort au Japon, voici ce qu’écrit dans Le Japon et la culture du silence (...)