En réponse à :
26 mars 2015, par Matteo Veronesi
(Versione italiana in secondo partita di articolo)
Dans un poème latin, Joseph Tusiani ― un des plus significatifs entre les poètes italo-américains, capable d’embrasser quatre idiomes, exemple emblématique de nomadisme et de contamination ― invoque le « Spiritus omniloquens », le « divinus absconditus cantus » ― c’est-à-dire la source occulte, le substrat insondable qui alimente les voies diverses de l’expression ; et, dans un autre poème, il se demande pourquoi une « syllabe nouvelle » est devenue (...)